Dictionnaire de théologie catholique/MAHOMÉTISME – Son développement général. III. L'état actuel de l'Islam

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Dictionnaire de théologie catholique
Letouzey et Ané (Tome 9.2 : MABILLON - MARLETTAp. 115-122).

III. Le Mahométisme moderne.

Après l’exposé historique si complexe de cette religion, voyons son aspect actuel. Dans le monde sounnite, comme dans le monde chiite, il y a des éléments de foi et des obligations rituelles fidèlement observées par les croyants. Nous parlerons d’abord de la vie religieuse des sounnites qui constituent aujourd’hui la grande

majorité, et indiquerons ensuite les quelques caractéristiques du chiïsme, plus marquées en réalité au point de vue politique que religieux.

Chez tes sounnites.

Le mahométisme consiste

essentiellement dans la formule des « deux témoignages » : « il n’y a de divinité qu’Allah et Mahomet est son prophète, i Quiconque croit et affirme cela est mahométail sans autre cérémonie.

Il est tenu ensuite à cinq obligations fondamentales : 1. la prière : 2. l’impôt appelé zaku ;.'}. le jeûne ; 4. le J pèlerinage ; 5. le djihâd ou guerre sainte. Nous allons | dire quelques mots de chacune de ces obligations dont la théorie a été constituée, ainsi que nous le savons par le Coran, le hadlth et les interprétations I

i la fois juridiques et théologiques des chefs de rites,

dont aujourd’hui quatre seulement sont pratiqués par les sounnites. On admet que les divergences de ces rites ne portent que sur des détails de pratique et laissent intacte l’unité dogmatique.

1. Lu prière.

Elle doit se faire cinq fois par jour,

au lever du soleil, à midi, à l’heure dite de 'usr (entre midi et le coucher du soleil), au coucher du soleil, à la nuit. On a voulu voir dans cette ordonnance une influence chrétienne : c’est possible. Toutefois elle n’apparaît pas dans le Coran, bien que l’observance de la prière y soit fréquemment mentionnée comme le premier devoir du fidèle. Il semble aussi que le Coran ait prescrit des prières nocturnes ; elles sont considérées aujourd’hui comme surérogatoires.

Pour prier, le fidèle doit être en état de pureté légale et procéder à diverses ablutions ; sur ce point, le Coran n’est pas toujours explicite et il y a quelques différences de détail suivant les rites. Après quoi il se tourne dans la direction de la Mecque, et en quelque endroit qu’il se trouve, commence les rakâ' réglementaires, deux, trois ou quatre suivant les heures. Une raka' se compose des mouvements suivants : d’abord station debout, les bras le long du corps et recueillement, puis le fidèle élève les deux mains à la hauteur des oreilles et dit : Allah akbar, Dieu est très grand. C’est le takbîr. Abaissant ses mains et plaçant la gauche dans la droite, il récite le fâtiha, premier chapitre du Coran de sept versets, que quelques orientalistes considèrent comme ayant été composé à l’imitation du Puter Noster. Il peut y ajouter quelques autres versets du Coran s’il en connaît.

Il s’incline ensuite, les mains appuyées sur les genoux prononçant d’abord un second takbîr, puis d’autres formules. Puis, il s’agenouille et se prosterne en touchant le sol de son front, les mains également posées sur le sol. Se relevant, il s’accroupit sur les talons, les mains sur les genoux, se prosterne une seconde fois et se relève, non sans avoir prononcé quelques takbîrs et autres formules. A la fin, il doit saluer à droite et à gauche les deux anges qui accompagnent partout le musulman et inscrivent l’un les bonnes actions, l’autre les mauvaises.

Tout cela a été réglé minutieusement par la tradition, car aucune de ces indications ne figure avec précision dans le Coran. L’appel à la prière est fait régulièrement par le mou adhdhin (muezzin) qui prononce également des formules réglementaires, légèrement différentes chez les chiites. Cet appel ou udhân remplace les cloches des chrétiens, pour lesquelles les musulmans ont généralement une grande horreur.

Le musulman, nous l’avons vii, prie là où il se trouve isolément ou en groupe. Cependant, il est plus méritoire d’assister à la prière en commun dans l'édifice spécial appelé masdjid (mosquée) ou lieu de l’agenouillement. Un des assistants, quel qu’il soit, prend l’initiative des mouvements et les autres se modèlent sur lui, c’est l’imâm. Chaque mosquée a un imàm M tHOMÉTISME, ETAT u M il

appoint » - pour cet otlice. mais il ne faut pas VOll en

lui un prêta à proprement perler.

la mosquée n’a aucun caractère architectural particulier. Ce peut être une simple cour fermée de murs avec bassin d’ablutions et une partie couverte où s'élève le mi rdb, sorte de niche dans le mur. qui est tournée vers la Mecque. C’est.1 cette niche que l’Imam fait race quand il ion. luit la prière. C’est le seul élément Indispensable. Il laut J ajouter, dans les grandes mosquées appelées djâmi '(cathédrales) une chaire ou minbar où, dans les prières solennelles du vendredi, monte le prédicateur <>u khatib qui prononce la khoutba, sorte de prône qui débute par des Invocations en faveur « les chefs de l’Islamisme, khalife, sultan, gouverneurs de province, et se termine par des exhortations aux fidèles. Le minaret est la tour OÙ monte le muenin pour mfaire entendre de loin.

Certaines djami’s en ont plusieurs et c’est généralement la partie architecturale la plus soignée et la plus élé gante. On l’appelle en arabe mttdhna le lieu de

l’appel : le terme de minaret, plus exactement mondri. signifie le lieu du feu' et désignerait plutôt un phare, mais il est aussi employé par extension dans le sens île ma’dhna.

Certaines grandes mosquées sont connues sous le nom de H iaÉVasa, lieu d’enseignement Elles sont alors établies sur un plan cruciforme, qui leur donne une ressemblance, d’ailleurs toute fortuite, avec les -.pies La conception est tout autre : elle dérive de l'éclectisme ach’arite qui admet sur le pied d'égalité l’enseignement des quatre rites sounmtes. L'édifice carré ou rectangulaire reserve aux

quatre angles des salles pour eet enseignement, ainsi que des habitations pour les étudiants. Ces coins on tâwigas forment autant de chapelles, de là le nom, donne a quelques edi liées religieux secondaires, qui sont de petites madrasas. et qu’on rencontre surtout dans l’Afrique du Nord, et le plus souvent en relations avec quelques couvent de soùlis.

Il v a aussi quelques prières exceptionnelles, comme celle qui doit être prononcée sur le mort au cimetière. L’officiant est un musulman quelconque choisi d’ordinaire pour sa pieté. 1 >ans les nuits du jeune, il y a prières spéciales. Enfin, outre les assemblées îelles du vendredi, on célèbre deux fêles, l’une qui met fin au jeûne, qu’on appelle la petite, l’autre inde appelée aussi celle du sacri lice, qui se célèbre au moment du pèlerinage. La prière se pratique encore dans de grands emplacements a ciel ouvert dénommés mousalld. oratoires..Mentionnons, a ce propos, les nonies, analogues aux rogations chrétiennes, par lesquelles on demande a Dieu la fin de la sécheresse, et les prières de l'éclipsé, survivance de la terreur superstitieuse inspirée jadis par ce phénomène astronomique.

2. L’impôt (zaka). — Le Coran insiste beaucoup sur le paiement de cet impôt qu’il associe presque toujours a l’observation de la prière, mais il est assez vague sur sa nature et sur sa qualité. La tradition l’a réglé ainsi. Tout revenu en espèces ou nature qui dépasse un certain taux est soumis a une taxe proportionnelle, d’ailleurs très variable suivant la nature des revenus. Le fonds ainsi constitue sert a des œuvres de charité.

Il convient d’ajouter que l’aumône privée est très recommandée, et qu’elle est particulièrement en honneur chez les musulmans. C’est elle aujourd’hui qui fait vivre les œuvres charitables, car. avec le temps, la zaka a perdu son caractère primitif pour n'être plus qu’un impôt ordinaire et même, en certains pays, a été remplacé par une autre forme d’impôt. s>i donc les finances publiques contribuent a cet « puvres, ce n’est pas par la znkn, mais par un fonds

quelconque et. en tait, la Zdl.u qui répondait a une nécessite spéciale, le lond d’entretien du premier

islam, n’a plus qu’un caractère théorique et tradl

tionnel.

s. Lt jeûne. Prescrit exactement par le Coran, il

est toujours appliqué suivant les anciennes ordonnait ces. vu neuvième mois de l’année musulmane, dès

l’apparition de la nouvelle lune, du lever au COUChei

du s, , ieii. tant qu’on peut dlstlnguerun iii blanc d’un lil noir. il est formellement interdit de boire ou de

manger. Mais, pendant la nuit, chacun peut s’alinicn ter et s’abreuver a son aise. C’est le célèbre Haniudàn. le mois ou le Coran a ete révèle au Prophète, celui OÙ a lieu la nuit de la décision ou, comme on l’interprète aujourd’hui, >i Destin. En celle nuit qu’on ne peut déterminer, mais que l’usage est de célébrer le 26,

Dieu lixe irrévocablement tous les événements pour un an. Aujourd’hui, chaque malin, l’ouverture du Jeune

est annoncée dans les grandes villes par un coup de canon, de même la rupture du soir, saluée par un cri général de soulagement. Celle du dernier soir inaugure la petite fête dont nous avons déjà parle : après une prière en commun, chacun va de son côté se livrer

aux divertissements d’usage. Les riches sont tenus de contribuer a l’allégresse générale par de généreuses

aumônes qui assurent aux pauvres les niovens de fêter cette solennité. C’est pour ces derniers, pour ceux qui sont obligés de travailler toute la journée, que le jeûne est particulièrement pénible. Ceux qui peuvent se reposer le jour n’en souillent guère, et les plaisirs de la nuit leur donnent d’amples compensations.

i. L( pèlerinage au sanctuaire de la Mecque, a une époque fixée, avec les cérémonies réglementaires, n’est pas une institution musulmane : elle remonte, en effet, à une époque antérieure à Mahomet. L’origine en est mystérieuse. D’après les légendes arabes, lorsqu' Abraham eut chassé Agar avec son filslsmaël, c’est sur le territoire actuel de la Mecque qu’elle se trouvait quand une source miraculeuse apparut qui les sauva de la soif, elle et son enfant. C’est le fameux puits de Zemzem qui, dans la suite des temps, se combla et fut découvert à nouveau par un ancêtre de Mahomet. Des Arabes qui passaient par là, voyant cette source, demandèrent à Agar la permission de s’installer auprès et ainsi se constitua le premier noyau de la future cilé. Istnacl parvenu à l'âge d’homme, prit femme parmi eux. Son père vint le trouver à plusieurs reprises et, sur l’ordre de Dieu, construisit avec lui le temple de la Ka’ba. L’ange Gabriel leur apporta la pierre noire qui fut encastrée dans un des angles et sert de point de départ aux tournées rituelles qui se font autour de ce cube de maçonnerie, situé aujourd’hui au même lieu de la grande mosquée. L’ange leur apprit aussi les prières et les pratiques désormais suivies dans le pèlerinage, le vêtement spécial appelé ihràm. les stations en divers points, le jet des cailloux, l’immolation des victimes, etc. I.e Coran les a rigoureusement maintenues, et la tradition les a réglementées avec le plus grand soin.

Tout autour du temple, a une distance assez grande, le territoire est sacré, ' iin’im. Lorsque le pèlerin y pénètre, il se dépouille de tous ses vêtements pour se couvrir de l’ihrâm, double pièce d'étoffe neuve qui ne lui couvre qu’une partie du corps. Il ne doit plus le

quitter jusqu'à la fin du pèlerinage et s’abstenir désormais de tout rapport sexuel, (les parfums, de la chasse, de se raser ou couper barbe, cheveux et ongles. de cueillir de l’herbe OU des branches d’arbre, le tout

bous peine de sacrifices supplémentaires. Il peu ! cependant tuer certaines bêtes nuisibles.

Le pèlerinage se fait dans le courant du douzième L639

    1. MAHOMÉTISME##


MAHOMÉTISME, ÉTAT ACTUEL

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mois qui en porte le nom dhoû-1 hidjdjat, mais les actes préparatoires, c’est-à-dire la prise de l’ihram et quelques autres peuvent être laits isolément pendant les deux mois qui précèdent. Arrivé à la Mecque, le pèlerin va faire ses ablutions à la mosquée et baiser la pierre noire, puis fait le tour de la Ka’ba de droite à gauche, trois fois en courant, quatre fois en marchant lentement. Il se rend ensuite à la hauteur appelée Safa d’où il court jusqu'à une autre hauteur appelée Mauvà, cela sept fois de suite, en accompagnant ces diverses cérémonies de prières appropriées.

Le huitième jour du mois, il va avec tous les pèlerins à Mina, à quelque distance de la Mecque ; le lendemain, au mont 'Arafa et à un autre lieu appelé Mouzdalifa. Le dixième jour, il assiste à la grande fête du sacrifice, qui est également célébrée ce jour-là dans tout le monde musulman (Qourbàn Baïram des Turcs). Il jette des pierres à Mina sur trois piliers qui symbolisent le démon, sept pierres par pilier, puis, il égorge une victime, mouton, chèvre, vache ou chameau. Ici finit le pèlerinage ; il quitte l’ihrâm, mais reste encore trois jours à la Mecque, où il va faire une tournée rituelle à la Ka’ba et boire l’eau du puits zemzem. Il a alors le titre de hâdjdj ou hâdjdjî,

Entre temps, il y a eu diverses prières et des sermons. La Ka’ba est revêtue d’une grande étoffe ; celle de l’année précédente est enlevée et découpée en morceaux qui sont donnés ou vendus aux fidèles. Cette étoffe est fabriquée au Caire, où les Européens l’appellent inexactement « le tapis ». Son nom arabe est kiswa, « manteau ». Une coutume qui date, dit-on, du xme siècle, mais qui doit remonter plus haut, est celle du ma’nmal, sorte de tabernacle de forme pyramidale, placé sur un chameau, qu’on envoie officiellement avec les caravanes de pèlerins qui s’organisent en Egypte, en Syrie ou ailleurs. Après un court séjour à la Mecque et à Médine, il est ramené à son pays d’origine. Son départ donne lieu à de grandes fêtes ; son retour est salué par de moindres cérémonies.

5. Le djihâd ou guerre sainte.

C’est une prescription du Coran qui ne vise en réalité que les luttes de Mahomet contre ses compatriotes. Elle a été étendue plus tard aux guerres de conquête entreprises par les Arabes. Aujourd’hui, elle est purement théorique, et on a vainement tenté de la remettre en vigueur dans les luttes entre musulmans et chrétiens. Si la guerre sainte était déclarée offensivement, il suffirait qu’un nombre suffisant de combattants y prissent part ; les autres musulmans n’y seraient pas tenus. En revanche, si elle avait un caractère défensif, nul ne pourrait être exempté du service. En fait, on n’y a, et probablement on n’y aura jamais recours et, dans l'état actuel des choses, on peut la considérer comme irréalisable.

En dehors de ces obligations fondamentales, le musulman doit encore régler presque tous les actes de sa vie sur les prescriptions religieuses. Pour l’enfant mâle, c’est d’abord la circoncision, dont il n’y a pas de trace dans le Coran, mais que la tradition a établie. Plus tard, qu’il s’agisse de vente, de contrat, de procès quelconque, c’est la loi religieuse, le charî', qui décidera. Le magistrat ou kâdi jugera d’après le Coran, le hadith et la doctrine de l’imâm, Mâlik, Chàfi'î, Aboû Hanîfa ou Ibn Hanbal. Le statut familial est régi de même. Mariages, héritages, testaments, funérailles, rien n’a échappé au législateur musulman. Nous dirons quelques mots du mariage, à cause de son importance sociale et aussi de l'évolution de plus en plus marquée qu’il subit aujourd’hui.

Mahomet, probablement sous des influences chrétiennes, s’est efforcé d’adoucir la condition de la femme qui n'était de son temps qu’une pauvre esclave, livrée au caprice du maître, comme dans la plupart des

sociétés barbares. Mais il a dû lutter contre les mœurs de ses compatriotes qui, sur bien des points, ont réagi et détruit quelques-unes des garanties qu’il avait établies. Ce qui l’avait le plus frappé était l’absolue dépendance de la femme ; il exigea, et cela a toujours été observé, que le mari lui constituât un douaire dont elle aurait la pleine propriété. En même t( i ce douaire est une garantie, insuffisante il est vrai, contre le divorce, parce que le mari n’en verse avant le mariage qu’une partie, mais est tenu de payer le complément en cas de répudiation. Cette institution est louable et assure souvent à la femme des avantages matériels qui manquent dans nos sociétés chrétiennes. Mais ils sont largement compensés par l’abaissement moral que lui infligent la polygamie et le concubinat, ainsi que la liberté illimitée du divorce qui est acee au mari. La polygamie légitime permet quatre fe^nmes ; il est vrai qu’elles ont droit à un traitement rigoureusement égal, et comme tous les frais d’entretien sont à la charge exclusive de l'époux, il y a là un frein salutaire. En fait, seuls, les possesseurs de grandes fortunes, de plus en plus rares, peuvent avoir en même temps plusieurs femmes. Ce qui est plus grave est le concubinat, la possibilité sans restriction d’user de toutes les esclaves. Grâce, il est vrai, à l’action chrétienne, l’esclavage disparaît aujourd’hui de la société musulmane. Grâce aussi à cette influence, la femme revendique de plus en plus une légitime indépendance, impose la monogamie, et son émancipation progressive peut entraîner de sérieuses modifications dans la société musulmane et partant sur la religion ellemême.

Reste le divorce. Le Coran, disons-nous, tout en le reconnaissant au mari ad libitum y apportait des restrictions. Six mois sont nécessaires pour que le mariage soit dissous et, dans cet intervalle, il faut formuler par trois fois l’intention irrévocable de la répudiation. La troisième fois, seule, est décisive, et les époux ne peuvent plus se remarier entre eux à moins que la femme n’ait contracté un second mariage qui aura été dissous. Mais la tradition a innové et à supprimé cette faible barrière des six mois. Du jour au lendemain, en prononçant la triple formule ou même une autre formule d'énergie équivalente, l'époux peut renvoyer l'épouse. Il est vrai que, si elle est mère, surtout si elle a des fils, il aura généralement quelque pudeur et redoutera la réprobation de l’opinion publique, le ressentiment des siens, mais son droit reste entier et, si la passion l’aveugle, il l’exercera impitoyablement.

La femme, de son côté peut obtenir, par l’intervention du kâdi, la dissolution du mariage ; elle peut aussi faire avec son mari tous arragements amiables, mais elle n’en reste pas moins très inférieure moralement. On allègue que jusqu’ici elle ne s’est pas plainte de cette infériorité et que, dans beaucoup de cas, elle a su prendre une influence prépondérante. Mais le mouvement d'émancipation s’accentue et, en se comparant avec la femme chrétienne, en s’instruisant davantage, elle sentira de plus en plus son infériorité pour ne pas dire son abaissement. La suppression de l’esclavage la délivrera des deux plaies du harem : la concubine et l’eunuque. Bientôt elle aura un foyer.

Une autre transformation s’accomplit de nos jours qui aura peut-être, si elle se maintient, une grande influence sur le mahométisme de demain. Dans le monde sounnite, le pouvoir temporel se sépare du spirituel. Le sultan ottoman qui, depuis 1517, se prétendait héritier du khalifat 'abbâsside, laisse maintenant entre les mains de ses sujets la puissance politique (mars 1924). Cette séparation n’est pas sans exemple dans l’histoire du mahométisme. Après la prise de Baghdâd par les Mongols en 1258, la dynastie 1641

    1. MAHOMÊTISME##


MAHOMÊTISME, BIBLIOGRAPHIE

L642

avait dispara. Les sultans mamlouks

tient recueilli un membre de

lavaient proclamé khalife, mais en

it le pouvoir temporel. Cest

lant do ce khalire purement spirituel qui

|vai, lorsqu’il Ht la conquête

r.17. Mais, do nos jours, la séparation

testableinent sous rinfluence des Idées

a% >ir de tout autres conséquen de l’avenir.

. Le chiTsme moderne,

qui ne dépasse. s de la Perse concorde

eil, . mlsme. u n accepte

traditions, ae considérant pas comme

Infaillibles tous - ll " Prophète dont

lent et rejetant particulièrement l autorité

commettes usur , i détriment de 'Ail. Les ' une fête,

dite de G >ada. tuvenlrde la désignation

.1 par le prophète de 'AU comm successeur. Enfin, comme nous lavons vu. us vénèrent spécialement les descendants de 'Ali. les Imams dont le dernier d » lt revenir en qualité de MahdL Dsrejettent nent l’autorité des fondateurs de rites sounntt.es. , nt le pèlerinages de la Mecque, mais ils v sont mal vus ; ils préfèrent aller visiter les tombeaux de leurs Imams : de 'Ail à Meschhed 'Ali, de Houseln a Kerbéla de Rlzâ a Meschhed du Khoit surtout une fête très caractéristique en souvenir de la mort de Houseln, pendant les dix premiers jours de l’année. C’est une commémoration funéraire, suivie d’une représentation théâtrale ; le peuple persan en suit les diverses péripéties, toujours les mêmes avec une passion toujours reiiouve.ee. Un amour idolâtre de Houseln, une haine farouche pour Yj :  !. son meurtrier, qui n’a d'égale que celle qu’il ressent surtout contre Aboû Bakr et 'Oumar, voilà le sentiment profond du chiite. A nous il peut sembler être rétrospectif et sans intérêt actuel, mais c’est qu’en réa ité il est l’expression musulmane d’une hair. ! t de nation, l.a Perse a accepte l’islam,

mais a toujours conservé la rancœur de la conquête arabe. E le a donc voulu façonner un islam à elle et s’est au chiTsme pour marquer son indépen dance qu’elle n’a pu réaliser qu’assez tard.

En deb taines divergences dans quelques

détails de pratique pour les ablutions, la prière, etc. l es i distinguent des sommités par l’usage

du vin Interdit par le Coran, il n’a jamais complètement disparu de la société musulmane ; mais il a toujours été combattu par les rigoristes du sounnisme ; il reste en honneur chez les chiites de Perse. Ceux-ci n’acceptent pas non plus les traditions contraires à la représentation des êtres animés en peinture ou en sculpture. Ce Coran ne les condamne pas et même des sounnites. comme Mahomet II. le conquérant de Constantinop xécuter par des peintres et des

irétiens leurs portraits. Le khédive i. ainsi que son fils Ibrahim ont leurun à Alexandrie, l’autre au Caire.

C’est une erreur assez répandue en Occident que ces représentations sont réprouvées par la loi ; ce n’est qu’une re populaire, un préjugé supersti tieux qui remonte probablement à une époque très reçu le peu a peu devant l’envahissement de

la p -n fait, ce n qu’en

p er ^..urd’hui des artistes, peintres,

! ant aucun scrupule de reprod’hommi ix.

insle oûflsme, dont it décrites dans

l’ar

Conclusion. — Les lecteurs de ce dictionnaire le

demanderont peut être si l’on doit espérer qu’un Jour l’islam, dont le domaine politique est de plus en plu !

réduit depuis deux siècles par les conque t es.les puis

sanceschrétle mes, disparaîtra comme religion, et si les

populations qu’il a jadis arrachées au christianisme en Afrique et en Asie retourneront. Il est difficile de Se

prononcer. Ordinairement, la réponse a cette qui est négative : on allègue que Us conversions de musul mans sont extrêmement rares, que la religion « le

Mahomet, loin de reculer s'étend, qu’elle s’est aval profondément dans le centre de l’Afrique, qu’elle fait d’extraordinaires progrès en Chine. On sait qu’elle a gagné quelques adeptes en France et en Angleterre,

et même, sous la forme un peu aliénante du h. h. usine. atteint les États-Unis d’Amérique. Tout cela est vrai : mais il ne faut pas oublier que le christianisme I exerce une Influence, indirecte mais profoni mahométisme moderne, car c’est lui qui a impo suppression de l’esclavage et incite la musulmai

l'émancipation. Peut-être y a t-il la le germe d’une transformation profonde. On a dit, non sans quelque raison, que l’islam était une religion d’hommes ; il n’est pas impossible que la femme musulmane, une fois complètement libérée, se sente attirée vers la douce religion où l’on peut prier Marie.

Bibliographie. — Nous ne pouvons songer ; donner Ici toute la bibliographie du sujet : elle remplirait un volume de ce dictionnaire. Elle n été commencée par V. Chauvin, dans sa Bibliographie des ouvrages arabes ou relatifs au.r Arabes, Liège et Leipzig, 12 vol. in-8°, t. x, 1907, Coran et Tradition ; t. xi, 1909, Mahomet, et t. xii, Liège, 19131022 (publié par M. Pilaln), Mahomitisme. Nous y renvei rons le lecteur, en ajoutant iei un court supplément de 1 1 a trois volumes. D’ailleurs, en ce qui touche la vie et la doctrine de Mahomet, on trouvera, dans l’article Cokan, t. iii, col. 1772, l’essentiel de la bibliographie jusqu’en 1908. Nous nous étendrons plus particulièrement sur les sectes, nous bornant toutefois à celles dont il a été parlé dans noir. article. Bien que le droit musulman fasse en réalité partie de la théologie, nous ne signalerons que ce qui concerne la dogmatique. Un astérisque indiquera les principaux ouvrages ou mémoires.

1. Compléments i ; r. Chauvin. — Freund (S.), De rébus die’resurrectionis eoenturis (tiré de Ibn al Wardl), Breslmi, 1NYS 1 vol. ln-8 « ; Maîmonide, Le nuide des t garés, éd. cl trad. S. Munk, I’aris, 1856, 1861, 1866, 3 vol. in-8 « . t. i. p. 332-459 de la traduction ; Hasan Idwî, Kitâb machâriq al anwar (traité d’eschatologie), Boulak. 1273 hég. (= 1857), in- ! ', nombreuses éditions subséquentes ; Ibn al W Kitab khartdat al adjaib. Le Caire, 1276 ( 18.". 9), 1 vol. in- 1. nombreuses éditions subséquentes, se termine par un clinpitre important sur l’eschatologie musulmane, cf. Freund ; Akhiri zamân kitabi, Kazan, 1860, in-8° (l' « et 2' éd.), 3-, 1862, in-N" ; Krehl (L.), Gescliiehte der mahommed. Religion und Philosophie, dans Prulz Deutsches Muséum, 1861, n 11 Houtsma (Th.), Strljd over het dogma in den islam lot op cl-Asharl, Leyde, 1875, in-S° ; Krehl (L.), Zur Churaktiris il ; der Lebre von Glauben in Islam, Leipzig, 18/ 7, in-S° ; Gautier (L.), La perle précieuse de Ghazâlt. Traité d’eschatologie miuulmane, Genève, 1878, 1 vol. In-8 » : Dugat (G.), Histoire des philosophes et des théologiens musulmans, I’aris, 1878, 1 vol. in-8 « ; Sprenger (A.), Die Sehuljacher unit die Scholaslik der Muslime, dans Zcilschr. Ideiislch, morgent . Gcsellsch., t. xxxii, 1878, p. 1 ; C.uyard (S… Abd ar-Razzâq et son traité de la prédestination et du libn arbitre, dans Journal asiattque, 1873, I* série, t. i, p. 12.". ; Traité de la prédestination… par Abd ar-Razzàq, trf.d.. I’aris, 1875, in-S" ; texte, Paris, 1879, ln-S « ; Snouck Hurgronje, /M Mekkaansehe Feesl, Leyde, 1880 ; [Tien (A.)] Risalai 'Abd Allah ibn Isma tl al Ilachiml lia A Maslh Ishaq al Klndt, Londres, 1880, in-s° ; Muir, Api „/ al Ktndg, Londres, 1ns2, in-S" (cf. article du même auteur, dans Indian female evangellst, Londres, avril l art 1)- Brockelmann (Cari), Geschtchte der arabischen LUI ratur 2 vol. in-s-, Welmar, is ! is ; Berlin, 1902 : S Fi. t. i, p.l68-164 ; Doamoffk.Li, p.l92-197 ; G/iora7f.t.i, p.419 Ibn Haxiii, t. i, p. 399-400 ; Ibn Talmlgga, t. ii, p. 100-105 ; , : nmwl ibn Tùmart, 1. 1, p. 400 ; Juynboll, Hel Imâmaai dans Indisùh Gids, mai 1808, p. 517 ; Huart (CI.) U livre de

la Création et de l’histoire, éA. et trad. dam Publications de l’Ecole <lr.s langues orientales, 1899-1916, [V* série, t. xviwiii ci i. xxi, xxii (Eschatologie, i. ii, p. 1 12 ; Vie de Mahomet, t. iv, p. 123 ; t. v, /nII. ; sa doctrine, t. v, p. 47 » ; Schrelner (M.), Lnr Geschlchle der theologlschen Bewegungen in Islam, <ians Zellschr.der deulsch. morgenWnd. GeseUsch., t. i.ii, 1898, il 163 ; i. un, 1899, p. 51 ; Huait (Clément), Sur les variations de certains dogmes de l’Islamisme aux trois premiers siècles de l’hégire, dans Revue de l’histoire îles religions, t. xi.in, 1901, p. 35."), et Actes du i" Congrès

/l’Histoire des religions, IIe partie, 1 ! MI2, p..'i ? ; Tabari,

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1922, p. 1 ; Str/ygosl<i, .S'/W/un0 des Islams, dans Acla acad. Aboensts Humantora, i. iii, '.', , 1922 ; Zwemer f S > The so called lladith Qudst, dans Moslem World, I. xii, juillet 1922, p. 71 ; Brévié (J.), Islamisme contre naturisme, Paris, 1923, in-8" ; 'Gaudefroy Demombynes, Le pèlerinage à l « Mecque, Paris, 1923, ln-8 ». — Voir aussi, pour l 'islamisme moderne, les récents périodiques spéciaux : Revue du monde musulman depuis 1906 ; Der Islam, depuis 1910 ; Moslem World. depuis 191 1 ; Mtr islama, PH2 : Weltdes Islams, depuis 1913. II. Sectes. I. GÉNÉRALITÉS. — Silvestre de Sacy, Mémoire sur les trois principales sectes du Miisulmnnisme par Rfousseau], Paris, 18 ! X, 1 vol. in-8^ ; llammer (J. de), Tableau généalogique des soixante-treize sectes de V Islam, dans Journal asiatique, 1825, 1° série, t. vi, p.233 et t. vii.p.' ! 2 ; Idji, Stidio quinta et sexta libri mawâqif, édit. Sorenscn, Leipzig, 18*48, 1 v. in-8o ; Shahrastâni(al), Kitâb almilal wannihal, éd. Cureton, Londres, 1846, 1 vol. in-8o ; Religions* parteien, trad. Th. Haarbriicker, Halle, 1850, 1 vol. in-8o ; Steinschneider (M.), Die kanonische Zahl dir muhammedanischen Seeten, dans Zeilschr. der deutsch. morgent . GeseUsch., t. iv, 1850, p. 145 ; Mas’oûdi, Les Prairies d’or, texte et traduction par Barbier de Meynard (et Pavet de Courteille pour les 3 premiers vol.), Paris, 1861-1877, 9 vol., in-8o passim (voir à l’index : Chiites, Kharédjites, Merdjites, Moutazélites, Sectes musulmanes, etc.) ; Ibn Khaldoûn, Mouqaddimat, éd. Quatremère, Paris, 1858, 3 vol., in-4°, (Notices et ixtraits des manuscrits, t. xvi-xviii) ; Prolégomènes, trad. de Slane, Paris, 1862-1865, 1868, 3 vol. in-4° (Ibid. t. xix-xxi), voir spécialement dans la traduction t. I, p. 384-468, t. H, p. 158-237, t. iii, p. 1-85 ; Maqrizî, Kitàbal khilat, Le Caire, 1270 hég., (1864), 2 vol., in-4°, t. a, p. 331-363 ; Le Caire, 1324-1326 hég. (1906-1909), 4 vol. in-8o, t. iii, p. 141-193 ; Sell (E.), The Sects of Islam, dans British and foreign evangelical Review, 1879 ; Goldziher, Le dénombrement des sectes musulmanes, dans Revue de l’histoire des religions, 1892, t. xxvi.p. 129 ; Khowarezmî (al). Liber mafatih al-olum, éd. Van loten, Leyde, 1895, 1 vol. in-8o, p. 7-33 ; *Ibn Hazm.Kïfdb al fasl fi-l milal, Le Caire, 1317, 1320 et 1321 hég. (1900-1904), 4 vol. in-4o ; * Welhausen (J.), Religios-polilischen Oppositionsparleien im allen Islam, Berlin, 1901, dans Abhandl. d. k. GeseUsch. d. Wissensch. zu Gottingen ; philol.-hist. Kl., nouv. série, t. v, 2. (§1, Chavârig ; § 2, Schia) ; Friedlânder, Zur Komposition von Ibn Hazm’s Milal wa’n-Nihal, dans Orientalische Studien Theodor Nôldeke… gewidmet, Giessen, 1906, p. 267 ;

  • Abd al Qiihiral Baghdâdi, Kitâb al farqbaïn al firaq, éd.

Mahommed Bedr, Le Caire, 1910, 1 vol. in-8o, trad. angl., par Seelye (K. C.) dans Coll. univ. oriental studies, t. xv, 1920 ; Moslem schisms and sects, part. I. Vient de paraître tout récemment : * Carra de Vaux, Les penseurs de l’Islam, t. iii, L’exégèse, la tradition et la jurisprudence ; t. lv, La scolastique, la théologie et la mystique, Paris, 1923 [1924] ; Casanova, L 7 n manuscrit d’al Ach’ari sur les sectes musulmanes, dans Journal asiatique, 1912, Xe série, t. xix, p. 416.

II. CUIIS1IE. — 1° Chiisme modéré. — Silvestre de Sacy La règle des schiis, dans Notices et extraits des manuscrits, t. iv, Paris, an VII, p. 700 ; Anonyme, Histoire des Alides, dans Jour/i. asiat., t. viii, 1826, p. 169 ; Haneberg, Verehrung der XII Imâme bei den Schiiten, dans Zeilschr. f. deutsch. morgent . GeseUsch., t. ii, 1847, p. 74 ; * Sprenger (A.) et Mawlawy Abd al-Haqq, Tusys lisl of shy’ah books, Calcutta, 1853-1855, 4 fasc. in-8o ; *Goldziher (L), Zur Literaturgeschichle derSi'â, dans Sitzungsberiehten d. philol.hist. Cl. d. k. Akademie d. Wisscnsch., t. lxx, fol. 8, 1874, Vienne, in-8o ; Chodzko (A.), Théâtre persan, dans Biblioth. orient, elzévir., t. xix, 1878 ; Ahmed-Bey Agæff, Les croyances mazdéennes dans la religion chiite, dans Congrès des orientalistes de Londres, 1892, t. H, p. 305 ; Eugénien, Les Chiites d’aujourd’hui, dans Antliropos, t. ii, 1907, p. 406 ; Aubin (E.), Chiisme et nationalité persane, dans Revue du monde musulman, t. iv, 1908, p. 456 ; Buhl (Fr.), Alidernes Stilling til de shi' itiske Bevcegelser under Umaiyaderne, dans Mém. de l’Académie danoise des sciences, 1910, t. v, p. 355 ; Strothmann (R.), Die Literatur der Zaiditen, dans Der Islam, t. I, 1910, p. 354 et t. il, 1911, p. 49 ; *Strothmann (R.), Staatsrecht der Zaiditen, Studien zur Gesch. und Kultur des islam. Orients… herausgegeb. v. C. H. Becker, Heft, I, Strasbourg, 1912, 1 vol. in-S° ; Strothmann (R.), Kullus der Zaiditen, Strasbourg, 1912, 1 vol. in-8o ; Rice (A.), 'Ali in Shi’ah Tradition, dans Moslem WorW, t. iv, 1914, p. 27 ;

  • Griflini (E.), Corpus juris di Zaid ibn 'Ali, Milan, 1919,

1 vol. in-8o ; Arendonk (C. van), Opkomsi van het Zaiedie. MAHOMÉ riSME. BIBLIOGR M' Il II

1646

tische imamaat, Leyde, 1919, 1 vol. in s- (Fondation de

Goeje. t. V). Consulter aussi 1rs divers OUVngM IUT

la Perse moderne.

3 Chiisme outre. Sllvestre de Sacy, De notion* vocum Tenzil et rauul, dans Commentationrs soctetatis rtglm scientiarum Gottingrnsis (CI. histor, et pnttoJoff.), t. wi. p. : » : Silvestre.1.- Sacy, Mémoire sur la dynastie des I sur l’origine de leur nom. ilnns.Moniteur, 1809, cf. ibid., ii. 350, p. 1 122. reprodull dans Annales des i<oyages, l. viii. i<. 323 et Mémoires de l’Institut royal. 1818, t. iv, p. I ; Quatremére (E.). Notice sur les Ismaïliens dans.Mines de l’Orient, t.iv. tst l.p.339 ; M laminer. <.. -.'nc/i/e.iYr.a.vmis.mn. m. Stuttgart, 1818, 1 vol. Histoire dr l’Ordre des lis - IU, trad. J, I. llcllcrt et P. A. de la Nourais, l’aria is ;  ;. ;. 1 vol. in-v : Historg o/ I/k.U<iivm(i<. trad. O. C Wood, 1835, in-S- ; Silvestre de

Recherches sur rtnitiatton ci la secte dis Ismaéliens, dans Journal osiafique, 1821. l" série, I. iv, p. 298, 321 ; tpparifiori noui-eHe i/'i/fi pron/n’lr niitsufnian {mahdi dans S lureau lourn. as., t. IV, 1892, p. 179 ; S iverk. Dus arabische Bucft tuh/iil ihirdn assa/d, Berlin, 1 vol. in-S : Quatremérc, La dynastie des khalifes fâtimites. dans Journal asiatique, 1836, III" série, t. u. p. 97 ; Defrémery (C), Les Ismaéliens de l’Iran, dans.lourn. as.. 1849, lv série, t. mu. p. 26 [à la suite île Vhistoire des des] ; Salisbury (E.>, Doctrines o/ //ic /s/na i/is and other batinian Secls, dans Journal o/ tfie Americ. Orient. Society, t. ni. ts.">2. p. 259 ; Defrémery (C), Essai sur i'/iisfoire des Ismaéliens < ! e /il Perse, dans Journal asiatique,

  • série, t. viii, p. 353 et 18P0, >, série, t. xv, p. 130 ;

Defrémery (C), Souvelles recherches sur les Ismaéliens ou hathiniens de Syrie, dans Journal asiatique, 1854, V » série, t. iii, p. 373, et 1855, V « -.rie. t. v. p. 5 ; Dietericl fF. II.). Die philosophischen Bestrebungen der lauteren Brader, dans Zeilschr. d. deutsch morgent . Gesellsch., t. mu, 1859, p. 577 ; 1 iiii. lias Alt Ikhwdn as safà, Abhandlungen der aufrichligen Brader, dan* Zeitschri/t der deutsch, morgent . Gesellsch., t. un, 1859, p. 1 ; Defrémery (C), Documents sur l’histoire des Ismai liens ou Batiniens de la Perse, dans Journal asiatique, 1860, V « série, t. xv, p. 130 ; l’orbes (D.), et Rleu(Ch.), Ikhwànu-s-Safa' ; nouv. édit., Londres, 1861, gr. 8 (trad. en blndoustani) ; Garcio de Tassy, Les Animaux [Ikhwàn as sa/à). Paris 1864, in-S', (extr. de la Revue d’Orient, d’Algérie et dis Colonies, t. xv et xvi, 1863) ; Guyard (Stanislas), Fragments relatifs à la doctrine des Ismaélis, Taris 187 1, 1 vol. in-4° (extrait des Notices des manuscrits de la Bibliothèque nationale, t. xxii, I r - partie) ; t’n Grand Maître des Assassins, dans Journal asiatiq., VIIsérie, t. ix. p. 324 ; Rehatsek (E.), Metempsychosis among heretie Muhammadan Secls, dans Journal Bombag Branch Royal Asiatic Soc, t. xiv. 1878-1880, p. 418 ; I’oole (St. L, ), Studies in a mosque, Londres, 1883, m-s [the Brotherhood of Purity in fine] ; Dietcrici, Abhandlungen der Ichwàn es-safà in Auswahl, Leipzig, 1883. 1 vol. in-S° (= Philosophie der Araber XI' livre) ; voir du même auteur diverses études partielles sur les Ikhwàn as safâ ; Der Slreil zwischen Mensch unil Thier, Berlin. lv.s. i vol. in-8° [traduction ;. Id., [texte !, Berlin, ls7 > et ls.sl ; Xaturanschauung und Salurphilosophie der Araber, Berlin, 1861, 1 vol. in-8° ; 2° éd., 187H ; Propœdeutik der Araber, Berlin, 1865, in-s : I.ogik und Psychologie der Araber, Leipzig, lsf.s, in-S" ; Anthropologie der Araber, Leipzig, 1871, in-v ; Le/ire von der Weltseele, Leipzig, 1872. in-s.' ; Philosophie der Araber, I" partie, Leipzig, ls7ti, in-s ; II' partie, Leipzig, 1N7'.'. ln-8° ; Darwi nismus, Leipzig, . in-s ; Motyiinski (A. de C), Proclamation du Mahdi, dans Bull, de correspondance africaine, 1884, p. 102 ; rson, The Imam Mahdi, Londres, 1884, 1 vol. in-S" ; 'Darmesteter (J.), L « Mahdi, dans Bulletin hebdomadaire, n. 260 et li'"'l d< l’Association scientifique de France, lsv’j, [. in-s ; paru aussi flans la Bibliothèque elzévirienne, Leroux, t. xi.in, Paris, 1885, 1 vol. in-12, voir également dans Revue politique et littéraire, 1885, trad. angl., Londres, . in-s° et NewYork, lS&ô.in-S » ; * Snouck Hurgronje, I > r Mahdi, dans Revue coloniale internationale, t. ii, -sou ( V.), Il r Maluli, dans ossische Zeitung (Sontags-Beil.), 1885, 21 juin. n. 2.">, p. 2 ; Grabinski, Il Sudan ed il mahdi, Rassegna nazionale, sept. 1887 ; 'Goldziher (L), Almohadenbewegung m Sordafrika, dans Ziilschr. d. deutsch. morgent . Gesellsch., t. tu, 1887, p. 30 ; Smith (W. Bobertson), Mohammedan Mahdi », dans l’rorndings… of the Royal Institution of Great Britain, Londres, . t. xi, p. 147 ; Nizam oul-moulk, Siasset Nameh, éd.

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lences d’Amsterdam 'Verhandeltngen der hou. Akad, ran Wetenschappèn te Amsterdam, ./d. Letterkunde, t. i, a. 3), 1894 ; Porter(Harvey), Thi orderofthi Assassins, dans Bibliotheca sacra, t. in. 1895, p. 113 ; Berchem (M. van), Êpi graphie des Assassins île Syrie, dans Journal asfaf., 1897, IX" série, t. i, p. l"> : i : Casanova, ' n manuserti

île la secte des Assassins, dans Journal asiatique, 1898,

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de r Institut français d’archéologie orientale du Caire), t. IV, Le Caire, 1920, in-1° ; Un nouveau manuscrit de la seete des Assassins, dans Journal asiatique, 1922, l série, I. xix, p. 121> ;.1. (Ihl. lrsi, rung, I-orlentwlckelung und Niedergang der Sekte der Ismæliten und

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