si c'est x que je veuille ôter ; ou bien si c'est y, en mettant en son lieu ,
et le carré, ou le cube, etc. de cette somme, au lieu de y2 ou y3, etc. De façon qu'il reste toujours après cela une équation, en laquelle il n’y a plus qu'une seule quantité indéterminée, x ou y.
Exemple de cette opération en une ellipse et en une parabole du second genre[1].
Comme si CE est une Ellipse, et que MA soit le segment de son diamètre, auquel CM soit appliquée par ordre[2], et qui ait r pour son côté droit et q pour le traversant, on a par le treizième théorème du premier livre d’Apollonius,
,
D’où ôtant x2, il reste
,
ou bien
,
car il est mieux en cet endroit de considérer ainsi ensemble toute la somme, que d'en faire une partie égale à l'autre.
![](http://upload.wikimedia.org/wikisource/fr/9/9f/Fig13_mouvement_parabole.jpg)
Tout de même si CE est la ligne courbe décrite par le mouvement d'une Parabole en la façon ci-dessus expliquée (page 340), et qu'on ait posé b pour GA, c pour KL et d pour le coté droit du diamètre KL en la parabole, l’équation qui explique le rapport qui est entre x et y est
y3 - by2 - cdy + bcd + dxy = 0,