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Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/188

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UNE SECONDE MÈRE.

Le Père Paterne.

Des hommes la faisaient tourner en marchant à l’intérieur.

Jacques, riant.

À la façon des écureuils dans les cages, alors, mon Père ?

Le Père Paterne.

C’est cela même… Mais le jour tombe, bientôt nous n’y verrons plus rien. Dépêchons-nous d’aller retrouver Mme votre grand’mère avant la nuit.


Jacques et Gina, les jambes un peu lasses, mais enchantés de leur journée, furent donc ramenés à l’hôtel par le bon Père Paterne.

Mme de Hautmanoir les guettait de sa fenêtre. Elle vint à leur rencontre. Tous remercièrent chaleureusement le Père et promirent de ne pas partir sans lui dire adieu.

Le lendemain matin, Mme de Hautmanoir, Jacques et Gina sortirent de bonne heure, afin de voir, à marée haute, au moment du lever du soleil, le Mont entouré d’eau comme une île. Ils en firent le tour en bateau, puis allèrent prendre congé du Père Paterne et voir, une der-