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Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/193

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UN GRAND PARTI.

Gina.

Non, elle paraît même plutôt contente.

Jacques, songeur.

Comme c’est singulier !

Gina, pensive.

Que peut-elle bien avoir ?

Mais, pour l’instant, les deux enfants n’en surent pas plus long.

Trois jours plus tard, Mme de Hautmanoir les conduisit à la gare et, très émue, les pressa sur son cœur avec plus de tendresse encore que de coutume.

Mme de Hautmanoir.

Adieu, chers enfants, que Dieu vous bénisse et vous protège. Soyez bien bons, bien sages, n’est-ce pas ?

Jacques.

Oui, oui, chère grand’mère, et à bientôt, promettez-le-nous ?

Gina, câline, attirant par le cou Mme de Hautmanoir.

Et puis n’ayez pas de peine, ma petite grand’mère.