Aller au contenu

Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/238

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
226
UNE SECONDE MÈRE.

Jacques protesta.

Le Commissaire.

Allons ! allons ! taisez-vous, (à Gina) : Votre nom ?

Gina.

Gina de Brides.

Le Commissaire, stupéfait.

Voyons, voyons, qu’est-ce que cela veut dire ? Vous vous êtes entendus, tous les deux, pour me tromper. Mais (les menaçant du doigt) je vais prescrire une enquête, et je saurai bien vous démasquer, moi. (À Jacques) : Alors vous avez mis le feu ? Vous avez volé ? allons, avouez, mon garçon.

Jacques, se redressant, indigné.

Elle ment, monsieur le Commissaire, elle ment, la vieille, ne l’écoutez pas, je vous en supplie. Je n’ai rien fait de mal, je…

La mère Cruchon.

Ah ! je mens, mauvais sujet ! C’est toi qui es un menteur, tu le sais bien. Et puis, tenez, monsieur le Commissaire, faites-le seulement fouiller, je serais bien étonnée, si l’on ne trou-