Aller au contenu

Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/243

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


« Miséricorde ! il ne manquait plus que cela ! »

XVII

À la recherche des fugitifs.


Le facteur, que les enfants avaient vu, dans la matinée, la veille, passer sur la route, apportait deux lettres au château de Brides : l’une adressée au Père Buisson, l’autre :

À Monsieur Jacques

et à Mademoiselle Gina de Brides.

Si le frère et la sœur avaient reçu cette dernière, ils y auraient lu ceci :

« Mes chers enfants,

« Je viens vous apprendre une grande nou-