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Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/49

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qu’il était malade et ne pourrait tenir l’orgue aujourd’hui.

Mme de Hautmanoir, souriant.

C’est une bonne fortune pour nous, Mademoiselle. Je ne veux pas souhaiter que Lucas reste malade longtemps, mais cependant nous avons tellement gagné au change, que je désirerais vivement que cela continuât toujours ainsi.


M. et Mme de Saint-Rambert échangèrent de cordiales poignées de mains avec M. de Brides et sa belle-mère et on se sépara.