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Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/65

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« Au revoir, petite mère. »

V

Tristes souvenirs.


L’alarme pourtant a été chaude. Jacques sent qu’il ne faut pas pousser son père à bout, s’il ne veut pas attirer sur sa tête le redoutable châtiment dont il a été menacé. M. de Brides, heureusement, semble n’y plus penser, ce dont Jacques et Gina se réjouissent entre eux.

Pendant les jours qui suivirent, Jacques et Gina lurent très sages ; ils prirent bien garde de ne pas commettre les petits méfaits dont ils étaient coutumiers et rien ne fut changé à leurs habitudes.