Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
238
POÉSIES
Je m’écriais : ma chère, il m’a trahie ;
Répondrais-tu : pleure, et pardonne-lui !
Comme elle aimait ! quelle ame tendre et pure
M’a révélé ce douloureux transport !
Ah ! si l’amour lui fut vraiment parjure,
Je le déteste… eh quoi ! l’aimais-je encor ?