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î j6 Table des

vuide, au fens que les Phi- lofophes prennent ce mot. 71

17. Que le mot de vuide, pris félon l'vfage ordinaire , n'exclud point toute forte

de corps 72

18. Comment on peut corriger la fauffe opinion dont on eft préocupé touchant le vuide »

19. Que cela confirme ce qui a efté dit de la rarefaftion . . 73

20. Qu'il ne peut y auoir au- cuns atomes, ou petits corps indiuifibles 74

21. Que l'eftenduë du monde

eft indéfinie »

22. Que la Terre & les Cieux ne font faits que d'vne mefme matière, & qu'il ne peut y auoir plufieurs mondes 75

23. Que toutes les varietez qui font en la matière dé- pendent du mouuement de

fes parties »

24. Ce que c'eft que le mouue- ment pris félon l'vfage commun »

25. Ce que c'eft que le mouue- ment proprement dit 76

26. Qu'il n'eft pas requis plus d'aflion pour le mouue- ment que pour le repos. . . -/-j

27. Que le mouuement & le repos ne font rien que deux diuerfes façons dans le corps où ils fe trouuent. . »

28. Que le mouuement en fa propre fignification ne fe rapporte qu'aux corps qui touchent celuy qu'on dit

fe mouuoir 78

29. Et mefme qu'il ne fe rap- porte qu'à ceux de ces

��Principes

corps que nous confide- rons comme en repos. ... »

3o. D'où vient que le mouue- ment qui fepare deux corps qui fe touchent, eft pluftoft attribué à l'vn qu'à l'autre. 79

3i. Comment il peut y auoir plufieurs diuers mouue- mens en vn mefme corps. 80

32. Comment le mouuement vnique proprement dit, qui eft vnique en chaque corps, peut auflî eftre pris pour plufieurs »

33. Comment en chaque mou- uement il doit y auoir tout vn cercle ou anneau de corps qui fe meuuent en- femble 81

34. Qu'il fuit de là que la ma- tière fe diuife en des par- ties indéfinies & innom- brables 82

35. Que nous ne deuons point douter que cette diuifion ne fe face, encore que nous

ne la puiffions comprendre 83

36. Que Dieu eft la première caufe du mouuement, & qu'il en conferue touf- jours vne égale quantité en l'vniuers »

37. La première loy de la na- ture : que chaque chofe demeure en l'eftat qu'elle eft, pendant que rien ne le change 84

38. Pourquoy les corps pouf- fez de la main continuent defe mouuoir après qu'elle

les a quittez 85

39. La 2. loi de la nature : que tout corps qui fe meut tend à continuer fon mouue- ment en ligne droite , »

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