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Page:Dubois - Tombouctou la mystérieuse, 1897.djvu/313

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LE COMMERCE ET LA VIE

J’avais usé de mon hôte, suivant l’habitude, en lui demandant de m’aider dans le choix de mes fournisseurs et en recourant à ses offices pour tous mes achats et démarches. Je lui demandai également de me conduire à travers la ville comme si J’étais quelque négociant du Mossi ou du Tafilalet.
tombouctou.
Il m’emmena d’abord aux environs du grand marché et me fit pénétrer dans ces masures basses et croulantes qui m’avaient causé une si vive déception à mon arrivée. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver, sous ces ruines, des boutiques très