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Page:Duval-Thibault - Les deux testaments, 1888.djvu/57

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LES DEUX TESTAMENTS

pas aussi riche qu’on avait bien voulu le dire, et qu’il dépendait presque entièrement de ses bontés et de sa générosité, qui ne devaient pas lui faire départ, disait-il. Mais il espérait qu’en retour, son neveu ferait quelques efforts pour se corriger de ses défauts, et apprendre à faire son devoir.

En ce moment, on vint lui dire que l’enfant était revenu de sa syncope et qu’il reposait tranquillement.

Il prit alors congé et retourna à Montréal.