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Page:Ernest Renan - Le livre de Job, Calmann-Levy, 1860.djvu/162

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Que ses enfants soient honorés alors, il n’en sait rien ;
Qu’ils soient méprisés, il ne s’en aperçoit pas.

Sa chair ne sent que ses propres souffrances,
Son âme ne gémit que sur elle-même.