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Page:Ernest Renan - Le livre de Job, Calmann-Levy, 1860.djvu/18

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trouvera la raison de ce que je n’ai pu exposer ici que sous forme de résultat. Je conseille en particulier aux personnes qui voudront se rendre compte des sens que j’ai adoptés, d’avoir toujours sous les yeux le commentaire de Hirzel[1]. Cet ouvrage est loin d’être celui qui a le plus contribué aux progrès de l’interprétation du livre de Job ; mais les opinions diverses y sont discutées avec beaucoup de jugement, et souvent j’ai été amené à adopter celles qui y sont données comme les plus probables.

    que je m’étais imposé, de m’attacher en général aux interprétations anciennes et adoptées par des classes entières d’exégètes.

  1. Il en a paru une seconde édition à Leipzig, avec des notes de M. Olshausen (1852), dans la collection intitulée ; Kurzgefasstes exegetisches Handbuch zum Alten Testament. Il serait injuste d’oublier qu’après Schultens, c’est M. Ewald qui a le plus contribué aux progrès de l’exégèse du livre de Job (Diepoetischen Bücher des Alten Bundes, Gœttingen, 1835-39). Je signalerai aussi le travail excellent, quoique parfois un peu conjectural, de M. Schlottmann (Berlin, 1850).