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Page:Gautier - Isoline et la Fleur Serpent, Charavay frères, 1882.djvu/132

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ISOLINE

de leur joie, elle qui n’avait de bonheur que celui des autres. Elle allait compter les jours maintenant, penchée sur son ouvrage, au coin de la cheminée sombre.

Et ceux qui partaient, heureux comme des oiseaux délivrés, lui envoyèrent du bout des doigts, par dessus les flots et les champs, un adieu tendre et, pour un moment, attristé.