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Page:Gazette des Beaux-Arts, vol 31 - 1904.djvu/289

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254 GAZETTE DES BEAUX-ARTS peut raconter les succès mondains, ni un amant dont il soit plaisant de narrer les aventures, l'intelligence de son art a été grande et ses connaissances spéciales ont été nombreuses. Et quand on admire la noble allure de Reynolds, la séduction et la distinction de Gainsbo- rough, le sentiment profond de Gonstable, il faut aussi admirer l’éclat de Turner. L'école anglaise, sans lui, ne pourrait valable¬ ment se targuer d’avoir rien inventé et, après avoir beaucoup reçu, de n’avoir à son tour rien donné.