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Page:Hugo Œuvres complètes tome 5.djvu/318

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père au siège de Grenade, en quatorze cent quatre-vingts et tant.

Maffio.

Cela ne prouve pas que celui-ci soit le fils du père avec qui était votre père.

Jeppo.

Vous êtes libre de ne pas venir souper, Maffio.

Maffio.

J’irai si vous y allez, Jeppo.

Jeppo.

Vive Jupiter, alors ! — Et toi, Gennaro, est-ce que tu n’es pas des nôtres ce soir ?

Ascanio.

Est-ce que la Negroni ne t’a pas invité ?

Gennaro.

Non. La princesse m’aura trouvé trop médiocre gentilhomme.

Maffio, souriant.

Alors, mon frère, tu iras de ton côté à quelque rendez-vous d’amour, n’est-ce pas ?