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Page:Hugo Œuvres complètes tome 5.djvu/353

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Dona Lucrezia.

Don Alphonse…

Don Alphonse.

Taisez-vous. — Veillez sur vos amants désormais, Lucrèce ! La porte par laquelle on entre dans votre chambre de nuit, mettez-y tel huissier qu’il vous plaira ; mais à la porte par où l’on sort, il y aura maintenant un portier de mon choix, — le bourreau !

Dona Lucrezia.

Monseigneur, je vous jure…

Don Alphonse.

Ne jurez pas. Les serments, cela est bon pour le peuple. Ne me donnez pas de ces mauvaises raisons-là.

Dona Lucrezia.

Si vous saviez…

Don Alphonse.

Tenez, madame, je hais toute votre abomina-