Aller au contenu

Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Correspondance, tome IV.djvu/213

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de Vaty, et j’espère bien pouvoir vous l’envoyer. Ce sera horriblement difficile, mais puisque vous le désirez, cela doit se faire.

Merci encore, monsieur et très gracieux ami. Je vous serre les deux mains.

Victor Hugo[1].


Au même[2].


28 mars.

Voici encore, monsieur, cette pauvre vieille dame. Est-ce qu’il n’y aurait pas moyen de faire convertir ce secours en une allocation annuelle de deux cents francs ? Cela économiserait votre temps et votre peine, que vous offrez d’ailleurs si gracieusement. L’allocation d’ailleurs serait littérairement et scientifiquement très justifiée. Vous savez les titres du défunt.

Je vous remercie d’avance et je vous serre les deux mains.

Victor Hugo.

N’oubliez pas notre dimanche[3].


Au même[4].


20 mai.

Vous avez été si bon pour un vieux poëte, M. Lahalle, que je vous en recommande un jeune. Voici M. A. Dupont qui aurait le plus pressant besoin d’être secouru sur les fonds spéciaux du ministère de l’Intérieur. Venez-lui en aide, je vous prie, je ne crois pas que votre intervention ait besoin d’aucun renfort, mais parlez en mon nom au chef de bureau, si cela peut être utile, vous ferez une bonne œuvre, et je vous en serai vivement reconnaissant.

Votre ami.
Victor Hugo[5].


À Madame la Vtesse Victor Hugo[6].


Vert-le-Grand, mercredi 23 [septembre 1846].

Chère amie, je t’écris sur mes genoux ayant Toto devant moi qui griffonne un billet à Henry[7] et derrière moi Charles qui se chauffe à un très

  1. Bibliothèque de l’Institut. — Collection H. Delaborde.
  2. Inédite.
  3. Bibliothèque de l’Institut. — Collection H. Delaborde.
  4. Inédite.
  5. Communiquée par la librairie Cornuau.
  6. Inédite.
  7. Henry Didier.