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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Correspondance, tome IV.djvu/329

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de M. Henri Lefort (de la Réforme littéraire) sur votre liste. Vous m’aviez pourtant dit qu’il acceptait. Il serait très important et très convenable de l’inviter, ainsi que M. Étienne Arago qui m’a dédié son volume de poésies.

Bien à vous de tout mon cœur. À dimanche.

V. H.

Et Esquirol[1] ?


À Auguste Vacquerie[2].


Bruxelles, 17 7bre.

Cher Auguste, j’ai reçu votre cher et doux envoi[3]. Je vous embrasse avec effusion. Merci. Tout s’est admirablement passé ici, mais vous n’y étiez pas. Donc rien n’est complet dans cet ici-bas que nous traversons.

Je vous serre dans mes bras.

V.

Parlez de moi à toute votre chère et excellente famille[4].


À Jules Claretie[5],
aux bureaux du Boulevard.


Hauteville-House, 7 8bre 1862.
Monsieur,

J’ai bien regretté, mais j’ai compris en même temps, que vos occupations ne vous aient pas permis d’assister à ce rendez-vous de Bruxelles, si doux et si touchant pour moi. Permettez-moi pourtant de vous considérer comme y ayant assisté, et de vous envoyer ce souvenir ; j’y suis presque autorisé par tant de pages charmantes et nobles que votre esprit a adressées au mien. Elles ont été à leur adresse, c’est-à-dire à mon cœur.

Je vous serre la main.

Victor Hugo[6].


À Madame Caroline Popp[7].


Hauteville-House, 11 octobre 1862.

Je viens, madame, de lire Nathalie. Moi qui dois tant de remerciements

  1. Correspondance relative aux Misérables. — Bibliothèque Nationale.
  2. Inédite.
  3. Vacquerie, alors à Villequier, n’avait pu se rendre au banquet des Misérables. Il avait envoyé à Victor Hugo une fleur cueillie sur la tombe de Léopoldine et de son mari.
  4. Bibliothèque Nationale.
  5. Inédite.
  6. Collection Jules Claretie.
  7. Inédite.