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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., En voyage, tome II.djvu/599

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Essentiel : Il y a quatre dossiers :

Pasages. Notes[1]. — Et la lettre commencée à Boulanger sur Cauterets avec sa copie.

Cauterets. Notes écrites en marchant. Copies. Les originaux sont dans le porte-feuille, mais au crayon et illisibles[2].

Le dos scié. Très important à lire et à consulter.

Incboata. N’a pas trait au voyage. Choses diverses. Quelques lignes de prose. Surtout des vers.


Au courant de cet album nous trouvons quelques ajoutés et quelques ratures, notamment dans les lettres de Bayonne 23 juillet, Saint-Sébastien, août. Pour la lettre datée de Pampelune les intercalations, sur papier pelure bleu-ciel, collées sur les pages de l’album, sont très importantes ; l’une d’elles datée 12 août comprend le texte de la page 379 de ce volume jusqu’à la page 382 ; une autre prend à partir des lignes où il est question des tombes de Marie de Flandre et de Charles le Téméraire (page 388) et se termine à la citation des Orientales (page 393).

Dans cette même lettre de Pampelune, entre deux feuillets, est collé un petit billet écrit par la belle batelière qui avait « passé » Victor Hugo :

[3]

Sur la même page, encadrés dans le texte et datés de Pasages 6 août, on lit ces vers :

Au bord des mers quand on sommeille,
La nuit, tout caresse
Tout caresse ou berce l’oreille ;


  1. On n’a pu retrouver que la copie de ces notes avec des ajoutés de la main de Victor Hugo.
  2. Ce sont ces originaux qui forment le petit carnet de poche (l’un des plus intéressants) dont nous avons parlé page 583.
  3. « Bon pour un baiser que je donnerai au seigneur qui me montrera ce papier
    Manuela Benturaz, la Catalane,
    batelière de Pasages
    neuf août mil huit cent quarante-trois. »