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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome II.djvu/586

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Comme dans les étangs assoupis sous les bois,
Dans plus d’une âme on voit deux choses à la fois,
Le ciel, qui teint les eaux à peine remuées
Avec tous ses rayons et toutes ses nuées,
Et la vase, — fond morne, affreux, sombre et dormant,
Où des reptiles noirs fourmillent vaguement.