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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIII.djvu/398

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392 LES MANUSCRITS DE TOUTE LA LYKE.

Lix. AUJOURD’HUI G alatée AUX LASCIVES Épaules... Dans un coin du quart de page contenant ces huit vers, le mot Comédie renseigne sur leur destination ainsi que cette indication : Continuant une conversation commencée. LXI. TOUS DEUX EST-CE A TIBUR ? EST-CE À VILLE-D’AVKAY ? Deux époques bien distinctes pour ce manuscrit, dont la première page serait, d’après l’écriture et l’indication finale : (8 mai, pendant le plébiscite), de 1870. Pourtant, le premier titre, rayé : £« Italie ^ le premier vers, rayé : Nous errions, elle et moi, dans les bois de Tibur, et, tout au bas de la page, ce vers : Pendant qu’elle disait mille adorables choses , ces trois lignes semblent dater de 1840-1844., ainsi que les quatorze vers de la page suivante.

LXII. L»OUTRAGE PEUT ÊTRE AUSSI DANS LA CARESSE. Le titre, et, en marge, une strophe ajoutée et une modifiée, sont postérieurs à 1854, date de cette poésie.

En tête d’une copie reliée au Reliquat, Victor Hugo a écrit : Cette pièce a été retouchée et fort modifiée sur le manuscrit. LXIII. LA BELLE S’APPELAIT MADEMOISELLE AMABLE. La première version passait du deuxième au neuvième vers. Les indications et les deux premiers vers, rayés, furent recopiés sur une page qui reçut les sept vers intercalés.

Au coin des deux pages le même mot : Comédie. VII

I. LA BLANCHE AMINTE.

Cette poésie et la suivante sont écrites, au recto et au verso, sur une double feuille de papier à lettres.

m. CE QUE GEMMA PENSE D’EMMA.

Neuf strophes ajoutées tant en marge que sur un bout de papier collé par des pains à cacheter au bas et au verso de la première page.