Aller au contenu

Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIV.djvu/379

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


- Doux ami, quand j’aurai quitté la chair mortelle,
Ne me fais remplacer par personne ! dit-elle.
Pas d’autre amante ! - Et grave, elle ajouta ce mot,
Les yeux levés au ciel : Car j’en mourrais là-haut.