Au-dessous une autre note, encerclée d’encre rouge :
Refléchir cependant avant de mettre cette note qui pourrait faire croire que le fait est vrai.
Puis, au-dessous encore, cette variante de la première note :
L’homme, on l’a vu, s’appelait Vlajean et non Valjean ; mais nous nous ferions scrupule de rectifier même cette légère erreur dans le texte de Mlle Sylvanie.
Nous la reproduisons scrupuleusement.
Feuillet 165, verso. — Toujours dans la même lettre quelques lignes biffées en marge :
L’homme a a une fois ou deux, mais c’était évidemment le rire d’un homme qui ne rit pas. Je comparais cela à mon frère qui rit si bien !
Ce dernier détail est repris au chapitre suivant : Tranquillité, puis rayé encore. Victor Hugo a réservé ce trait de caractère pour le livre V.
Feuillet 167, verso. — V. Tranquillité.
Une métaphore amusante, restée inédite :
Il faisait un beau clair de lune, la lune avait, comme disent les paysans, mangé les nuages.
Feuillet 171. — VII. Le dedans du désespoir.
Variante de titre illisible. Plusieurs ajoutés dans ce chapitre. Au verso du feuillet 172, les deux premiers alinéas biffés avec ce mot écrit en travers : Remplacé.
Feuillet 174. — IX. Nouveaux Griefs.
Ce chapitre suivait sans interruption le chapitre vii. Une note indique l’intercalation du chapitre viii : L’onde et l’ombre, écrit de 1860 à 1862.
Feuillet 179. — X. L’Homme réveillé.
Variante de titre : L’Homme dans l’ombre.
Feuillet 181. — XI. Ce qu’il fait.
Variante de titre : Rentrée du misérable dans les actions nocturnes.
Feuillet 187. — XIII. Petit-Gervais.
Variantes de titre : Ce qu’il vit le soir. — Jean Valjean lâche.
Au verso de ce feuillet, sous trois traits horizontaux, cette date : 24 novembre 1846. Il y avait un an et sept jours que Victor Hugo avait commencé son roman quand il a écrit ce chapitre.