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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Roman, tome IV.djvu/401

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ÉLARGISSEMENT DE L’HORIZON.
Je dirais au grand César :
Reprends ton sceptre et ton char,
J’aime mieux ma mère, ô gué !
    J’aime mieux ma mère.

L’accent tendre et farouche dont Combeferre le chantait donnait à ce couplet une sorte de grandeur étrange. Marius, pensif et l’œil au plafond, répéta presque machinalement : Ma mère ?…

En ce moment, il sentit sur son épaule la main d’Enjolras.

— Citoyen, lui dit Enjolras, ma mère, c’est la république.