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Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/118

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Que l'immobilité faisant un mouvement,
Le farouche sépulcre est vivant par moment,
Et le profond sanglot de l'homme le secoue, —
Le vieux héros sentit un frisson sur sa joue
Que dans l'ombre, d'un geste auguste et souverain,
Caressait doucement la grande main d'airain.