Page:Janin - La Bretagne, 1844.djvu/9

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À force de soins, de zèle de travail, nous avons essayé de retracer l’image ressemblante d’une province que vous avez souvent dessinée d’un seul trait, et qui se retrouve vivante dans votre poëme, dans votre histoire. Dans tout le cours de ce récit, on s’est efforcé de ne pas sortir des bornes les plus strictes de la vérité, de la justice, de la croyance. Puisse ce livre être accepté par vous, comme un nouvel et sincère hommage du respect que nous portons à votre génie, et de notre admiration profonde pour votre vertu !

J’ai l’honneur d’être, monsieur le Vicomte, je devrais dire

Monseigneur,
Avec le plus profond respect,
Votre très-humble et très-obéissant serviteur,
Jules JANIN.