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le kalevala

leau, on n’a point arraché le bel arbre, afin que tu aies une branche pour te reposer et faire entendre tes chants. Chante donc, maintenant, ô beau coucou, chante à pleine voix, poitrine retentissante, poitrine d’or ; fais résonner les airs, poitrine d’airain. Oui, chante le soir, chante le matin, chante au milieu du jour ; célèbre mes belles plaines, dis la douceur de mes bois, les trésors de mes rivages, la fécondité de mes champs ! »