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Page:LeMay - Fêtes et corvées, 1898.djvu/80

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FANTÔME

livide du cadavre et ses yeux versaient des larmes.

— Assassiné !… il a été assassiné ! s’écrièrent plusieurs.

Mais l’assassin, où est-il ? Est-ce l’Indien de la prairie ? Est-ce le jeune homme superbe qui s’en va avec le soufflet du mort sur la joue ?

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

L’église retentit de lamentations, les cloches sonnèrent un glas funèbre ; le prêtre, dépouillant ses vêtements pompeux, mit sur ses épaules la chasube noire et dit la messe pour le repos de l’âme de Jean-Paul Duvallon.

Il n’y avait plus qu’un petit servant.

Ainsi finit la noce, ainsi finit mon histoire.