La séparation d’avec le mal est le principe divin de l’unité.
Je pourrais terminer ici mes remarques, ayant développé le grand, quoique simple principe, qui découle de la nature même de Dieu, savoir que la séparation d’avec le mal est le principe divin d’unité. Mais une difficulté qui se lie à mon sujet principal se présente ici. En supposant que le mal s’introduise dans le corps, ainsi formé maintenant sur la terre, le principe restera-t-il également vrai ? et dans ce cas, comment la séparation d’avec le mal pourra-t-elle maintenir l’unité ? Ici, nous touchons au mystère d’iniquité » (2 Thess. II) ; mais le principe dont nous parlons, découlant de la nature même de Dieu qui est saint, ne peut être mis de côté. La séparation d’avec le mal est la conséquence nécessaire de la présence de l’Esprit de Dieu, en toute circonstance, pour ce qui concerne la conduite et