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Page:Les Soirées de Médan.djvu/58

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L’ATTAQUE DU MOULIN

de son air aimable de beau cavalier. Et, apercevant Françoise imbécile entre les cadavres de son mari et de son père, au milieu des mines fumantes du moulin, il la salua galamment de son épée, en criant :

— Victoire ! victoire !