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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 10.djvu/801

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lement primitif, qu’il importe de connaître les lois du mouvement du fluide ; nous allons donc examiner spécialement ce que deviennent les formules (18) et (19), lorsque le rayon du point auquel elles répondent, est un très-grand multiple de il faudra, d’après ce qu’on vient de dire, que soit aussi très-grand, pour que le mouvement de ait commencé.

(8) Mettons à la place de dans les équations (17). Soit ensuite

Si l’on considère et comme des quantités très-petites par rapport à il est aisé de voir, d’après ces équations (17), que et seront aussi très-petites ; et en négligeant les carrés et les produits de on aura


d’où l’on tire

En même temps la formule (19) deviendra

On y considérera comme des fonctions de données par les équations précédentes, et l’on déterminera les limites des intégrales relatives à et de manière que