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Page:Maupassant - Conte de la bécasse, 1906.djvu/123

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farce normande

jaune. L’ombre des pommiers faisait des taches sombres à leur pied ; et, au loin, la campagne, couverte de moissons mûres, luisait.

Comme Jean s’était penché au dehors, épiant toutes les rumeurs de la nuit, deux bras nus vinrent
se nouer sous son cou, et sa femme le tirant en arrière, murmura :

« Laisse donc, qu’est-ce que ça fait, viens-t’en. »