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Page:Maupassant - Conte de la bécasse, 1906.djvu/241

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un coq chanta

Les oiseaux de nuit voletaient, effarés, au-dessus de la meute affolée d’ardeur. Et des femmes, attendries par toutes ces choses douces et violentes, s’appuyant un peu au bras des hommes, s’écar-