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Page:Maupassant - Conte de la bécasse, 1906.djvu/58

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la folle

loigna. La maison de ma voisine restait fermée ; l’herbe drue poussait dans les allées. La vieille bonne était morte pendant l’hiver. Personne ne s’occupait plus de cette aventure ; moi seul y songeais sans cesse.

Qu’avaient-ils fait de cette femme ? s’était-elle enfuie à travers les bois ! L’avait-on recueillie