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Page:Maupassant - La main gauche, Ollendorff, 1903.djvu/286

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la morte

Je pensai qu’elle aussi avait dû la tracer sur sa tombe. Et sans peur maintenant, courant au milieu des cercueils entr’ouverts, au milieu des cadavres, au milieu des squelettes, j’allai vers elle, sûr que je la trouverais aussitôt.

Je la reconnus de loin, sans voir le visage enveloppé du suaire.