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Page:Maupassant - Pierre et Jean, Ollendorff, 1888.djvu/262

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Devant la porte de leur logis il l’embrassa et lui dit : « Adieu, maman, bon courage. »

Elle monta, à pas furtifs, l’escalier silencieux, entra dans sa chambre, se dévêtit bien vite, et se glissa, avec l’émotion retrouvée des adultères anciens, auprès de Roland qui ronflait.

Seul dans la maison, Pierre ne dormait pas et l’avait entendue revenir.