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Page:Maupassant - Yvette.djvu/222

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Elles s’arrêtèrent enfin, et ils rentrèrent dans Fécamp.

M. de Cadour les attendait pour dîner. Il se mit à rire et cria, en les apercevant :

— Très bien, ma femme a attrapé une insolation. J’en suis ravi. Vraiment, je crois qu’elle perd la tête, depuis quelque temps !

Ils ne répondirent ni l’un ni l’autre ; et comme le mari demandait, en se frottant les mains :

— Avez-vous fait une jolie promenade, au moins ?

D’Apreval répondit :

— Charmante, mon cher, tout à fait charmante.