cette préface, il y a cependant un élan de cœur que je ne puis suspecter, et qui tranche sur l’allure divagante du morceau :
« J’ai un aveu qui me pèse.
« Je suis malheureux…
« Oh ! ma pauvre mère !
« Ma mère ! Tu m’as donné la vie, tu as veillé pendant des nuits longues et froides auprès de moi, qui reposais dans un berceau ; tu m’as enlacé de soins et de tendresse, tu as pleuré beaucoup sur mon avenir ; tu m’avais averti… Je t’ai coûté la santé, le bonheur, ma mère, hélas ! et je maudis mon existence !…
« Oui, je la maudis ! »
Les Roueries de Trialph commencent par un bal, en plein faubourg Saint-Germain.
On voit passer le héros en habit boutonné.
Il est moins sombre que d’habitude ; il a formé le projet, ce soir-là, de se gargariser de quelques drôleries de sentiment.
Amer Trialph !
En conséquence, après quelques minutes d’examen sous un candélabre, il entre en adoration d’une jeune fille et d’une femme mûre, — toutes les deux à la fois.
La déclaration d’amour à la jeune fille