Page:Nerval - Élégies nationales et Satires politiques, 1827.djvu/93

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Puisqu’en toi j’ai goûté le plaisir le plus pur,
Qu’en toi, pour expirer, je puise du courage
Dans l’espoir d’un bonheur futur !
Réveillé de la vie, en toi je vais renaître,
À tous mes ennemis je pardonne leurs torts,
Et puisque je me crois digne de te connaître,
Je descends dans ton sein, sans trouble et sans remords.