Page:Roy - Guillaume Couture, premier colon de la Pointe-Lévy, 1884.djvu/142

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 117 —

tant peut-être les splendeurs de Versailles, où brillait son épouse avec les Sévigné et les Montespan, rêvait dans les forêts d’Amérique à l’autoritarisme et à la suprématie de ses officiers. L’administration de ce gouverneur, si grande et si glorieuse, gardera tache de cette lutte mesquine. Frontenac aurait pu mieux employer son énergie et son activité. Ces piqûres n’étaient pas dignes d’un esprit aussi large que le sien, de celui qui faisait répondre à ses ennemis par la bouche de ses canons.