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Page:Sand - Contes d une grand mere 1.djvu/210

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ront plus faire l’orage autour de toi et en toi-même.

Catherine ne comprit pas beaucoup la leçon ; mais elle ne revit plus le nuage rose. Quand, trois mois plus tard, sa mère vint la voir, elle filait déjà dix fois mieux qu’au commencement, et au bout de quelques années elle était aussi habile que la tante Colette, dont elle était la riche héritière.