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Page:Sand - Francia.djvu/196

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Il alla sous le péristyle, où se tenaient encore à cette époque tout un groupe d’industriels empressés qui se chargeaient, moyennant quelque monnaie, d’appeler ou d’annoncer les voitures de l’aristocratie en criant à pleins poumons le titre et le nom de leurs propriétaires. Ogokskoï dit au premier de ces officieux d’appeler M. Valentin ; celui-ci apparut aussitôt.

— Le prince Mourzakine, lui dit Ogokskoï, vous avertit de ne pas l’attendre ici davantage ; remmenez la voiture, et allez l’attendre chez lui.

Malgré sa puissante intelligence, Valentin ne se douta de rien et obéit.

Le comte rentra dans les couloirs, écrivit à la hâte le billet qui devait mettre son neveu aux arrêts forcés dans la loge de la marquise, et revint dire à Francia que M. Valentin, n’ayant sans doute pas compris les ordres de Mourzakine, était parti.

— En ce cas, répondit Francia, je prendrai tout de suite un autre fiacre ; je suis fatiguée, je voudrais rentrer.