Page:Sand - Francia.djvu/248

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LOUISE.

C’est qu’il n’aura pas voulu ! Alors il a moins de curiosité que toi.

ANNA.

Tu n’es pas curieuse, toi, de voir un homme dont on parle tant ? Il est là, tout près !

LOUISE.

Au fait, la vue n’en coûte rien. (Elle va à la fenêtre et regarde.) Franchement, eh bien ! je ne suis pas de ton avis. Il est très-agréable.

ANNA.

Agréable ! comme monsieur le bourreau de Paris !

LOUISE, revenant.

Ah ! mais, tu le détestes, ce pauvre M. de Valroger !

ANNA.

Et toi, tu le protéges ?

LOUISE.

Contre qui ?

ANNA.

Je ne sais pas, mais enfin tu meurs d’envie que je le reçoive.