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Page:Sand - Theatre complet 3.djvu/171

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FLAMINIO, à part, avec un effroi comique.

Malédiction !

GÉRARD, à Sarah.

Eh bien, vous voyez !

LE DUC, à part.

Dame ! ça se peut bien !

Sarah est consternée.
BARBARA.

Oh ! il est bien ridiquioule ! je entende lui chanter, je entende lui parlé dans le délirium de le maladie. Je voyais lui pleurer pour remercier moi… oh ! comme une fils ! Je aimé lui !… oh ! comme une fils. Je adopté lui pour le fils de moi ; ici est le notification. (Elle remet le papier à Sarah.) Oh ! je sais le malignity, je vois ! (Elle regarde Gérard et le duc.) Mais…

LE DUC.

Mais il y a un moyen de vous en préserver, miss Melvil : c’est de faire un mariage convenable et sensé, qui n’empêchera pas vos sentiments maternels… un homme d’un âge assorti au vôtre, pouvant vous offrir un nom…

BARBARA, souriant.

Bien difficile pour prononcer ! Je remercié vous, diouke ! Je moque le malignité, je donne, je rende le avenir à une vrai artiste ! et je ne prené pas son liberté, je laissé lui voyager. (Le duc remonte mécontent, Sarah remonte et redescend à gauche.) Je coultive le métaphysic, je n’étais pas signora italiana, je n’avé pas besoin un sigisbeo.

FLAMINIO, à part.

Ah ! oui, à la bonne heure ! l’excellente femme ! (Haut.) Signora, je ne sais comment vous exprimer…

GÉRARD.

Et moi, chère miss Melvil, je ne sais comment m’excuser…

SARAH.

Ma bonne sœur !