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Page:Stahl - Maroussia, 1878.djvu/143

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IX
LE RÉVEIL D’IVAN.

Il était presque midi ; il n’y avait point d’ombre ; si l’on trouvait un petit endroit ombragé par un arbre touffu, les chauds rayons de l’astre du jour savaient passer à travers les feuilles, sous le vieux cerisier de la cour. Une toile d’araignée en or se mouvait à chaque coup de brise qui agitait le feuillage.

Depuis quelque temps, un brûlant rayon avait pé-