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Page:Stahl - Maroussia, 1878.djvu/285

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XX
DERNIÈRES COURONNES

Tout avait été malencontre et désastre !

« Avons-nous beaucoup de chemin à faire ? demanda Maroussia.

— Tu es bien fatiguée, ma chérie ? lui demanda son grand ami.

— Non, je ne suis pas fatiguée, mais je voudrais