Page:Stahl - Maroussia, 1878.djvu/91

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

V
LA FUITE

Il faisait encore nuit, mais la brise matinale se faisait déjà sentir. Dans un couvent lointain, on entendait sonner les matines ; les joncs du rivage pliaient et résonnaient ; les eaux de la rivière jusque-là paisibles, rencontrant ici des roches qui leur faisaient obstacle, commençaient à tourner, à bouil-