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ZOLA, DUMAS, MAUPASSANT

sissent l’un ou l’autre, parfois l’un et l’autre : d’abord toute licence, puis le catholicisme. Et les hommes vivent ainsi pendant des générations, se couvrant de théories diverses inventées non pas dans le but d’apprendre la vérité, mais pour la cacher. Et ceux de la masse surtout, les gens bornés se trouvent heureux.

Mais il y a d’autres hommes, — il y en a peu, ils sont rares, — qui, comme Maupassant, voient les choses de leurs propres yeux, telles qu’elles sont, qui en perçoivent la signification, qui voient les contradictions de la vie cachées à d’autres, qui se représentent nettement à quoi doivent forcément les amener ces contradictions et en cherchent déjà d’avance la solution. Ils la cherchent partout sauf où elle est, c’est-à-dire dans le christianisme, parce qu’il leur